Le volet judiciaire de la fusillade accidentelle de Carcassonne n’est pas encore terminé. Le 13 mai dernier, le tribunal de correctionnel de Montpellier avait rendu des verdicts plus cléments par rapport aux réquisitions du ministère public visant les 6 anciens militaires du 3e Régiment de Parachutistes d’Infanterie de Marine (RPIMa), tenus pour responsables de ce drame ayant eu lieu le 29 juin 2008, à l’occassion d’une démonstration dynamique dans le cadre d’une journée “portes ouvertes”.
Pour rappel, le sergent Nicolas Vizioz, alors membre du Groupe des commandos parachutistes (GCP) du “3″ avait introduit par mégarde des munitions réelles en lieu et place de cartouches à blanc lors d’une simulation publique de libération d’otage. Bilan : 16 personnes furent blessés, dont certaines gravement.
Outre cet ancien sous-officier, cinq autres militaires du régiment furent inquiétés par la justice, dont ses supérieurs hiérarchiques directs, le chef de corps et son adjoint ainsi que l’organisateur de cette journée “porte ouvertes”. L’instru
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