Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Cercle Jean Moulin ®

Cercle Jean Moulin ®

Co-Président d'Honneur Daniel Cordier, Secrétaire Particulier de Jean Moulin, Hubert Faure, membre des 177 du Commando Kieffer, membre d'Honneur Suzanne Escoffier, petite cousine et filleule de Jean Moulin Association Mémorielle Patriotique et Républicaine. cercle.jean.moulin71@sfr.fr 07 81 34 85 48


Chevènement parle des relations algéro-françaises

Publié par cercle Jean Moulin sur 17 Décembre 2011, 23:35pm

Catégories : #J.P. Chevènement G. Sarre Fond. Res-Publica MRC

20070423 WWW000000404 16769 1

L’histoire qui pèse et l’octroi de visas
14 Décembre 2011

 

L’ancien ministre français, Jean-Pierre Chevènement, président de l’association France-Algérie, mais néanmoins candidat à l’élection présidentielle française de 2012, ambitionne de donner un souffle nouveau aux relations algéro-françaises. Il compte assumer le passé tout en ayant un regard tourné vers l’avenir. Jean-Pierre Chevènement, dans un entretien accordé à l’Aps, développe sa politique en la matière et appelle à « faire bouger les lignes entre la France et l’Algérie ». Dans ce cadre, le président d’honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC) et président de l’association France-Algérie évoque la grandeur des deux pays « qui doivent être capables, l’un et l’autre, d’assumer tout le passé et regarder ensemble vers l’avenir » et affirme « comprendre la mémoire douloureuse qui pèse sur les Algériens ». Chevènement estime qu’ « il y a une passion dans la relation franco-algérienne », qu’il qualifie de « positive et chargée d’avenir » et qu’il serait, selon lui « dommage de laisser s’éteindre en se teintant progressivement d’indifférence ». Pour sa part, le président de l’association France-Algérie, lui, assure rester « fidèle à l’engagement de regarder vers l’avenir, travailler à l’amitié et à la coopération de nos deux peuples, grands pays riverains de la même mer qui s’unissent de liens humains exceptionnels ». Mais, il estime que les efforts doivent venir des deux pays et il confie que l’Algérie « pourrait contribuer à travailler à cette amitié par quelques décisions symboliques », notant que « c’est un travail nécessaire, incontournable, patient, difficile ». Il prévient que dans le cas contraire, la « mémoire douloureuse » risque d’être instrumentalisée et de produire encore aujourd’hui des effets politiques irrationnels du point de vue des intérêts de l’Algérie comme de la France. Il estime qu’il ne faut pas « ressasser » le passé chez les uns comme chez les autres, mais, dit-il « nous servirons mieux nos patries en nous tournant ensemble vers l’avenir et en regardant chez l’autre ce qu’il y a de positif et qui peut être mobilisé dans l’intérêt mutuel ». Il estime également que l’exploitation perverse de « la mémoire douloureuse » ne sert pas « l’intérêt des deux pays », recommandant que « dans le désordre international actuel, il faut privilégier la construction d’une entente politique très large entre nos deux pays ». Dans ce sens, dit-il, il faut comprendre le colloque qu’organisent à Paris, le 17 décembre l’association « l’Algérie et la France au XXIe siècle ». Devoir de mémoire toujours, Jean-Pierre Chevènement, est interpellé sur l

http://www.lemidi-dz.com/index.php?operation=voir_article&date_article=2011-12-14&id_article=evenement@art8@2011-12-14

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article

Archives

Nous sommes sociaux !

Articles récents