En présence d’élus locaux et départementaux et de membres de l’Anacr, quelque 170 élèves ont pu rencontrer deux anciens résistants, vendredi, au collège Audembron. - Arthur Cesbron
Le ton est grave, la parole lourde. « Ce jour-là, on était chez un voisin. Avec le brouillage, on ne comprenait que quelques bribes de mots, mais on a compris que nous n'étions pas seuls. C'étaient des paroles d'espoir, alors que nous n'avions plus aucun contact avec les autorités. C'était une vraie bouffée d'oxygène, et c'était la première fois que je voyais pleurer mon père. » L'émotion pointe dans la voix de