1914-1918 : reconnaître les uniformes
21 mai 2013
C’est un petit livre illustré et pédagogique qui permet d’identifier les fantassins, les artilleurs, les sapeurs, les cavaliers, le train des équipages, le service de santé, les services divers et les aviateurs qui ont composé les forces engagées dans la Première Guerre mondiale.
Une fois lu ou feuilleté, il suffit pour acquérir les réflexes d’un discernement pertinent et savoir à quelle arme appartient celui qui est représenté sur une carte postale ou une vieille photo de famille d’en faire un jeu historique et ludique.
Ce fascicule est intéressant alors qu’on se prépare à célébrer le centenaire de la Grande Guerre. Si au début 1914, l’armée française est forte de 817 000 hommes, elle aligne dès la fin août alors que le conflit s’est ouvert depuis moins d’un mois 2 887 000 soldats. Bine sûr, ce sont les régiments d’infanterie qui dominent puisqu’il y en a 173 d’active auxquels il faut en ajouter autant de réserve! Sans compter les 145 régiments d’infanterie territoriale.
Ce n’est pas un raison pour mépriser les artilleurs qui alignent 97 régiments ni le génie même si au début de la guerre, une division d’infanterie ne comprend mise à sa disposition qu’une compagnie du génie. Il ne faut pas plus confondre le pantalon rouge de 1914 avec la tenue du poilu de 1918.
Cette tenue a en effet évolué pour de simples raisons de logique visuelle et en raison des conditions de vie très pénibles http://lhistoireenrafale.blogs.lunion.presse.fr/
21 mai 1943 : le Japon reconnaît la mort de Yamamoto
21 mai 2013
Ce n’est que le 21 mai 1943 que l’empereur du Japon Hiro Hito accepte qu’une communication officielle soit faite pour annoncer au peuple la mort du commandant en chef de la flotte combinée, l’amiral Isoroku Yamamoto. L’opération menée de main de maître par les Alliés qui ont utilité les aptitudes de leurs services du chiffre pour décoder les messages de l’ennemi remonte au 18 avril précédent.
C’est au cours d’une mission d’inspection dans les Salomon que l’avion de l’Amiral et celui de membres de son état-major ont été abattus. L’un s’est écrasé à terre, l’autre s’est abîmé en mer. L’opération “Vengeance” était destinée à punir celui qui avait donné le feu vert à la mise sur pied du raid audacieux puis à la frappe par l’a http://lhistoireenrafale.blogs.lunion.presse.fr/
21 mai 1943 : L’escadre d’Alexandrie se rallie à Giraud
21 mai 2013
La nouvelle est officialisée le 21 mai 1943. L’amiral Godefroy, commandant l’escadre française immobilisée à Alexandrie depuis la signature de l’armistice de juin 1940 s’est rallié au général Henri Giraud au terme d’une négociation bilatérale satisfaisante pour les deux parties. Ce rapprochement s’est fait avec l’accord des autorités britanniques et l’encouragement de l’administration américaine.
Les navires qui n’ont pas été utilisés depuis trois ans, ne sont pas en état de reprendre la mer et au regard des évolutions techniques doivent subir des enrichissements pour être performants sur les eaux de la Méditerranée. Pour rappeler cette obligation d’équipements en phase avec les nouvelles menaces, les Britanniques ne manquent pas de communiquer en ce même 21 mai que les chasseurs bombardiers de la Luftwaffe viennent en http://lhistoireenrafale.blogs.lunion.presse.fr/