« On a toujours été impressionné par le fait qu'il n'a jamais parlé ». Célia et Quentin ont 15 ans. En 3e au collège qui porte le nom de l'ancien sous-préfet de Châteaulin (1930-1933), ils n'ont, en revanche, pas été impressionnés de retracer la vie de celui qui fut arrêté à Lyon par la Gestapo, il y a 70 ans. Pourtant, il y en avait du monde devant la stèle érigée dans la cité de l'Aulne en hommage à Max, le héros de la Résistance. Entouré de nombreuses autorités civiles et militaires, des porte-drapeaux, des représentants d'associations d'anciens combattants et d'un large public, le préfet a salué