Résumé des épisodes précédents. À Tel-Aviv, Madonna compare Marine Le Pen à Adolf Hitler. À Istambul, elle dévoile le haut tandis qu’à Rome, elle découvre le bas. Mais quand il n’y en a plus, il y en a toujours encore…
On allait oublier aussi… Après chaque concert, la scène est passée au crible, histoire qu’un malfaisant ne lui dérobe pas un cheveu ou une rognure d’ongle, juste histoire de la cloner. Si, si. Comme si une Madonna ne suffisait pas. Comme si on avait besoin d’en faire un élevage en batterie, façon vaches folles. Au fait, on allait oublier, en 1987, à Paris, elle jetait déjà sa culotte aux spectateurs en fin de concert, devant un Jacques Chirac ébahi qui n’en demandait sûrement pas tant.
Là, changement de registre et vu qu’elle n’a plus grand-chose à exhiber, elle a chialé. C’était à Berlin. On vous refait la scène.
Elle chante Like A Virgin, tube des années 80 du siècle dernier, sur un arrangement de cordes sirupeux qui colle aux dents, pire qu’une pâtisserie du Maghreb. Ben voyons… Like A Virgin pour Madonna, c’est un peu comme si Dominique Strauss Kahn avait entonné Like A Puceau dans les couloirs du Sofitel de New York. Enfin, passons. Elle chante donc. Et puis, soudain, l’émotion. Le tsunami lacrymal. C’en est trop pour elle. Madonna souffre. Madonna craque. La p
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