http://lhistoireenrafale.blogs.lunion.presse.fr/2013/03/18/19-mars-1943-de-gaulle-prepare-sa-visite-a-alger/
Le 19 mars 1943, le général de Gaulle réclame sans délai des éclaircissements sur plusieurs
questions politiques et diplomatiques à Léon Marchal qui est alors chef par intérim de la mission de la France combattante à Alger.
Il veut avoir son avis sur la position réelle du général Henri Giraud sur l’Union en Afrique du
Nord. Il demande aussi pourquoi il s’applique à faire venir le chef de la France combattante. “Si je vais à Alger, quelle atmosphère vais-je y trouver? Y a-t-il des chances pour que ma
présence soulève un puissant mouvement d’opinion dans le sens de la France combattante? Croyez-vous que les autorités actuelles à Alger cherchent à empêcher ou à dévoyer les manifestations
favorables de l’opinion? Si ces manifestation se produisent néanmoins, quels effets peuvent-elles entraîner?”.
Si le Général pose toutes ces questions auxquelles il attend des réponses précises c’est qu’il
désire avoir une pleine et entière liberté de ses faits et gestes et la possibilité de s’exprimer dès qu’il le juge utile. Il ne dissimule pas son envie d’utiliser tous les médias pour
donner son point de vue sur la situation locale et sur les développements de la guerre sur les différents fronts.
“Je parlerai certainement en public et à la radio. D’autre part, je compte être accompagné par
trois commissaires nationaux. En l’absence du général Catroux, je vous prie de faire tout de suite le nécessaire au point de vue installation et voitures. Il y aurait grand avantage à
trouver au moins une voiture découverte”.
Le Général
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http://theatrum-belli.org/documentaire-lepopee-des-2500-tonnes-dor-de-la-banque-de-france-durant-la-seconde-guerre-mondiale/
Pendant toute la durée de la guerre, mises à l’abri hors de l’Hexagone, les réserves d’or détenues par la Banque de France échappent à l’Allemagne et aux Alliés. Les 2500 tonnes de lingots et de pièces entreposées au siège, le deuxième plus gros stock mondial, constituent alors un patrimoine très convoité. Dès leur entrée dans Paris, les officiers du Reich tentent de s’en emparer. Une course contre la montre s’engage alors pour faire sortir le trésor de la métropole. En l’espace d’un mois, 300 camions prennent la route. La marine prend le relais. A la fin de la guerre, seulement 395 kilos d’or manqueront à l’appel. Retour sur cette incroyable épopée.
- Auteurs : Jean-Philippe IMMARIGEON (collaborateur à la Revue Défense Nationale) et Alain-Gilles MINELLA
- Réalisateur : Olivier HENNEGRAVE
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http://www.onac-vg.fr/fr/actualite/details/id:81/
Le Centre européen du résistant déporté, France 3 et Temps Noir,
ont l'honneur de vous faire part de la projection en avant-première du documentaire
Au nom de la race et de la science
Strasbourg 1941-1944
En novembre 1944, les troupes alliées découvrent à l’Institut d’anatomie de l’université de
Strasbourg 86 corps
atrocement mutilés, les corps de juifs gazés au camp de Natzweiler-Struthof. Une découverte qui va
mettre à
jour l’un des projets les plus inconcevables et les plus méconnus du régime
nazi…
Le 4 avril 2013 à 13h, au cinéma Le Royal, Rothau (67)
Le 10 avril 2013 à 19h30, à l'Ecole Militaire, Paris
En savoir plus
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HTTP://WWW.FABULA.ORG/ACTUALITES/DES-ERREURS-HISTORIOGRAPHIQUES_56049.PHP
Information publiée le lundi 18 mars 2013 par Laure Depretto (source : Yves Lescure)
Date limite : 15 mai 2013Appel à contribution pour la revue interdisciplinaire de la Fondation pour la mémoire de la Déportation (FMD), En Jeu. Histoire et mémoires vivantes, n° 2, décembre 2013 :
Des erreurs historiographiques
Pourquoi s’intéresser au problème des erreurs historiographiques ?
Comme toute discipline à prétention scientifique, l’histoire progresse par « essais », « erreurs » et « correction d’erreurs ». Et cette démarche est d’autant plus significative pour elle que ces erreurs peuvent affecter aussi bien le niveau factuel que le niveau interprétatif de ses constructions. Très souvent oublieuses de leur histoire, les sciences humaines, l’histoire en particulier, auraient pourtant intérêt à se pencher sur ces erreurs car leur étude pourrait s’avérer riche en leçons multiples. De fait, alors que l’histoire et la sociologie des sciences physico-mathématiques ou naturelles ont depuis longtemps analysé la production, la réception et la possible contribution des erreurs à la dynamique de ces disciplines, notamment dans le cadre des science studies, une telle approche est exceptionnelle en histoire des sciences humaines, et notamment en historiographie. Dans ce dernier domaine, les erreurs ne sont généralement envisagées qu’en contrepoint de la thèse présentée, mais ne font pas en elles-mêmes l’objet de l’étude. Sous réserve d’erreurs ou d’omissions, la bibliographie sur le sujet est étique.
Pourtant, nous estimons que l’erreur historiographique vaut d’être étudiée selon des perspectives semblables à celles qui sont au cœur des science studies : nous faisons l’hypothèse que l’erreur constitue un excellent angle d’observation des mécanismes de perception et de réception, des structures et des dynamiques du champ de la recherche historique et des rapports entre la discipline historique et la société. On pourra certes s’interroger sur la pertinence de ce transfert des réflexions sur les sciences physico-mathématiques et naturelles au cas des sciences humaines, mais il nous semble qu’il s’agit d’une orientation potentiellement fructueuse.
Cet appel à contributions inclut la présentation et l’analyse de tout type d’erreur dans l’historiographie des grands co
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Le Souvenir Français a pour objet :
1 - De conserver la mémoire de ceux et de celles qui sont morts pour la France au cours de son histoire ou qu'ils l'ont honorée par de belles actions, notamment en entretenant leurs tombes ainsi que les monuments élevés à leur gloire, tant en France qu'à l'Etranger.
2 - De transmettre le flambeau aux générations successives en leur inculquant, par le maintien du souvenir, le sens du devoir, l'amour de la Patrie et le respect de ses valeurs.
Pourquoi ? Par Qui ? Comment ?
Depuis quand ?
Gardien de notre Mémoire, le SOUVENIR FRANÇAIS, créé en 1887 et reconnu d’utilité publique depuis
1906, est une des plus anciennes associations privées françaises.
Avec qui ?
Fort de ses 200.000 adhérents et affiliés, femmes et hommes de tous âges et de toute origine
sociale, présent dans tous les départements de France Métropolitaine et d’Outre Mer et dans 62 pays étrangers, le SOUVENIR FRANÇAIS est vivant, dynamique et soucieux de
l’avenir.
Pourquoi ?
Conservant le Souvenir de celles et de ceux qui sont morts pour la France ou qui l’ont servie et
honorée avec éclat, il veille sur les monuments, grands ou modestes, qui dans villes et villages, en France et hors de France sont là pour rappeler leur mémoire, et entretient 120.000 de
ceux et celles qui sont morts pour la France ou qui l’ont honorée particulièrement.
Chaque année une cinquantaine de monuments sont rénovés avec sa participation.
120.000 tombes de ceux qui, illustres ou inconnus, soldats de l’An II ou compagnons de la
libération, volo
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Nicole
Guedj, ancien ministre, président de la Fondation France IsraelPour la quatrième année consécutive, la Fondation France Israël présidée par l’ancien ministre Nicole Guedj,
conduira une délégation de vingt petits-enfants de Justes français parmi les Nations, en Israël, du 7 au 10 avril 2013.
« Mémoires de Justes parmi les Nations » est une initiative de la section jeune de la Fondation France Israël, qui ambitionne de transmettre la mémoire de la Shoah autrement, notamment aux nouvelles générations françaises. En accordant une attention particulière aux descendants de Justes parmi les Nations, il s’agit à la fois d’humaniser cette mémoire parfois lointaine mais aussi de la positiver en soulignant les actes héroïques de ceux de nos concitoyens qui se sont élevés contre la barbarie nazie.
Selon Nicole Guedj, président de la Fondation France Israel : "Ces jeunes qui ne se ressemblent pas, qui viennent de toute la France, ont en commun un héritage. Ils sont les petits-enfants de Justes français, ils sont les descendants de héros qui, un jour, ont du s'opposer à la barbarie. Ils sont tous là pour défendre les droits de l'Homme. Ces jeunes, qui viennent pour la première fois fouler le sol d'Israel, nous devons leur faire confiance, nous devons les remercier de toujours transmettre la mémoire de tous ceux que nous avons perdus."
A l’occasion des cérémonies de commémoration de la Shoah, ces « Ambassadeurs de la mémoire » rendront hommage à leurs grands-parents mais aussi aux 3 707 Justes français parmi les Nations, qui ont sauvé des Juifs au péril de leur vie pendant la Seconde Guerre Mondiale. A Yad Vashem, ils auront l’opportunité de découvrir le nom de leurs grands-parents sur le mur des Justes parmi les Nations et de rencontrer des rescapés, dont certains ont été protégés par leurs aïeux. De nombreuses rencontres avec des Israéliens seront également initiées pour pérenniser les liens in
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