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L'Association départementale des déportés, internés, résistants et patriotes (Adrip) de Lot-et-Garonne tenait son assemblée générale, samedi dernier, à l'espace culturel François-Mitterrand.
« Au fil des ans, nos rangs se sont éclaircis, mais nous avons la chance d'être encore de ce monde, fidèles au serment des camps et nous mettons tout notre cœur dans notre volonté à témoigner et mettre en garde nos jeunes générations face au danger de la résurgence de régimes maudits », a déclaré en ouverture Norbert Labau, le secrétaire de l'Adirp.
Une Journée de la résistance205 adhérents composent cette association présidée par Yvette Cayrou et Pierre Filhol. On y retrouve 9 déportés et 14 internés dont l'âge va de 84 à 93 ans. « Dans quelques années, l'irremplaçable témoignage des survivants disparaîtra. C'est pourquoi nous demandons l'instauration d'une Journée nationale de la Résistance en direction de la jeunesse, d'autant plus que nous sommes inquiets de voir que l'enseignement de l'histoire et la géographie disparaîtra du programme de terminale S à la rentrée prochaine », témoignent-ils.
Depuis 1945, une permanence est assurée deux fois par semaine par l'Adirp dans son bureauà A
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La conférence sera menée par Monsieur Yannis Thanassékos directeur de la Fondation Auschwitz à Bruxelles. Elle est ouverte aux professeurs des écoles de cycle 3 et aux professeurs de collèges et lycées.
- 14h-14h20 : accueil,
- 14h20-14h25 : un mot des présidents de l'association,
- 14h30-15h30 : Yannis Thanassékos, conférence sur le thème histoire, mémoire et archives.
- 16h : Yves Lescure : présentation de la fondation pour la mémoire de la déportation et outils de la fondation.
La conférence est organisée par l'association des amis
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Mobiliser et intéresser simultanément les enfants, les adolescents (dont une classe de première professionnelle de 20 élèves) et les adultes, dans le cadre de la Semaine de la femme organisée par la municipalité, n'était a priori pas chose aisée.
Pourtant, les enfants du centre de loisirs de La Force et leurs animateurs ont réussi ce pari, en projetant en première partie de la soirée de mercredi dernier, à l'espace socioculturel, la vidéo intitulée « Fais la vaisselle », devant 150 personnes.
Ce film est le fruit de mois de travail au centre de loisirs, avec l'aide de l'association La Fée Caradoc. Les enfants ont réalisé des interviews de gens du village (le restaurateur, une vendeuse, la coiffeuse…), qui ont donné leur lecture des relations homme femme sous l'angle du sexisme et du partage des tâches au quotidien. Cette vidéo participera demain, à Paris, au concoursnational « Buzzons contre le sexisme » (1).
Le Vel d'hiv à 5 ansEn deuxième partie de la soirée, Évelyne Bouyssou et Carmen Frit, élues municipales, ont présenté les intervenants, qui ont livré des témoignages émouvants : la Forcelaise Michèle Sauvent, Pierrette Veyral, de Gardonne, et Irène Sapir.
Cette Bergeracoise est engagée au Parti communiste français depuis longtemps. Née en 1937 en régi
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Les animations organisées conjointement par l'Université populaire en Périgord, l'Agora de Boulazac, Ciné-Passion et la mairie de Bassillac (lire nos éditions précédentes), vendredi et samedi, ont tenu leurs promesses sur le thème « Créer c'est résister, résister c'est créer ».
Vendredi, le centre culturel de Bassillac accueillait près de 170 personnes pour la projection de « Waste Land ». Un film qui raconte comment la création artistique a pu changer la vie de quelques trieurs et trieuses au Brésil, dans la plus grande décharge du monde, celle de Gramacho. Trieur, un drôle de boulot, où il faut résister à de multiples vecteurs, mais « un travail honnête ».
Avant le film, Marie-Claude Varaillas, responsable de la commission culturelle, a présenté le travail réalisé par des jeunes en chantier d'insertion : des petits blocs de pierre sur lesquels chaque lettre du mot « debout » est sculptée. Tout un symbole.
Le passé resurgitSamedi, 80 marcheurs ont mis leurs pas sur ceux de la Résistance (1). Un parcours agrémenté de treize sculptures sur pierre et sur bois, pensées et réalisées par des RMistes il y a cinq ans. Par chance, l'un d'eux, Jean-Philippe Tourteau, était présent, et avec une élue, Nadine Estève, responsable des randonnées, chaque halte devenait passionnante par la riche
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La délégation territoriale de Saône-et-Loire des Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation a lancé une « tournée » dans huit des plus grandes communes du département. Dans ce cadre, elle sera présente à Tourn
http://www.lejsl.com/edition-de-chalon/2012/03/14/exposition-sur-la-deportation