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En cette année électorale importante, les victimes du nazisme et de la collaboration de l’État français réaffirment leur attachement à cette journée du souvenir de la déportation.
Pourquoi faut-il toujours se souvenir ? Pourquoi faut-il sans cesse témoigner ?
Revenir sur le passé reste un préalable indispensable pour faire comprendre la tragédie humaine de la Déportation.
Survenue souvent après les épreuves de l’arrestation et de l’internement, la déportation dans ses finalités répressive ou exterminatrice a touché des dizaines de milliers de nos compatriotes comme aussi de ceux qui avaient pensé trouver asile sur notre sol.
Jamais il n’a été plus indispensable de rappeler notre passé concentrationnaire qui peut sembler lointain aux générations nouvelles.
Les enseignements que nous en tirons restent actuels à nos yeux.
Malgré le temps qui passe et les mémoires qui s’éteignent, nous avons aussi le devoir de rappeler les leçons de notre histoire qui appellent à la lucidité et à la vigilance.
Loin de disparaître, le fanatisme, le racisme, la xénophobie ne cessent de ressurgir à travers un monde agité par des passions nationalistes et religieuses et des désordres économiques.
Cette journée du souvenir doit être tournée vers l’action. Les détenus, lorsqu’ils furent libérés, s’engagèrent pour que ces drames ne soient pas seulement un objet de commémoration.
En ce 67ème anniversaire de notre libération, notre objectif commun doit être de faire vivre dans notre société l’histoire et la mémoire de phénomènes d’une dimension humaine si considérable par leurs origines, leurs ressorts et leurs conséquences, qu’ils ne peuvent ni ne doivent plus jamais laisser les consciences au repos.
Ce message a été rédigé conjointement par
la Fondation pour la mémoire de la déportation (F.M.D.),
la Fédération Nationale des Déportés et Internés de la Résistance (F.N.D.I.R.),
la Fédération Nationale des Déportés et Internés, résistants et patriotes (F.N.D.I.R.P.),
l'Union Nationale des Associations de Déportés, Internés et Familles de disparus (U.N.A.D.I.F.),
ainsi que par des Anciennes Déportées et Internées de la Résistance.
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Ecrit par JCC. Rubriques À la une, Actualités, Derniers articles
nationaux et généraux, Rennes et Bretagne
Mots-clés : collaborateur, dinan, ecrivain, ouest-éclair, roger vercel
Publié le 01 mars 2012 avec Pas de commentaire
Toute la presse nationale et locale en parle dans ses colonnes. Roger Vercel est un collabo de la pire des espèces, un voyou qui mérite le pilori, la corde et le gibet. On n’est d’ailleurs pas loin de le penser, en lisant l’un de ses éditos dénichés par la Fédération nationale des déportés, internés, résistants et patriotes. Publié le 16 octobre 1940, à la Une du quotidien Ouest Eclair (devenu Ouest France à la Libération), il souscrivait ouvertement à une élimination de « l’emprise juive » dans le domaine de la littérature.
Pour de tels propos, ladite Fédération a officiellement demandé que soient débaptisés deux collèges de Dinan et du Mans, portant le nom de Roger Vercel (1894-1957). « Nous avons adress
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Le 1° mars 2012
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