Les familles de résistants font part de leur indignation dans le Progrès du 11 septembre 2012, suite à une formulation malheureuse figurant dans le programme des Journées du patrimoine. Il y est annoncée l'ouverture au public de la maison du docteur Dugoujon, où furent arrêtés "Jean Moulin et ses complices".
La phrase, qui assimile le héros de la résistance à un chef de malfaiteurs, serait une "erreur regrettable",selon le Grand Lyon. Une bourde rapidement corrigée sur le site Internet de la communauté urbaine où l'internaute peut désormais lire : "Jean Moulin et sept responsables du mouvement de la résistance". Trop tard cependant pour modifier la version papier, déjà disponible pour le public.