À chaque grande crise notre pays a vu surgir un grand homme ou une grande femme. Une personne inspirée par l’amour de son pays et de son peuple. La crise actuelle n’a pas encore atteint son apogée, le peuple est anesthésié par son nombrilisme qui l’aveugle et par le pouvoir subliminal des médias qui le manipule avec son consentement.
À quelques mois de la prochaine élection présidentielle, nous subissons abasourdis; une véritable pitrerie politique entre notables de gauche et de droite. Aucun de ces prétendants au « trône » de France n’a l’exacte amplitude des dangers qui menacent le peuple. Car à la crise matérielle s’y est ajouté depuis des générations successives, une crise morale, une crise culturelle, une crise sociale grandissante et s’y ajoutera bientôt une crise politique.
Il suffit pour détecter ce danger d’examiner, les mesures gouvernementales, les stratégies ridicules et périmées de l’opposition. La diabolisation des partis populaires, la complaisance servile des syndicats, le prêt à penser et à « prier » des médias; véritable pouvoir d’un tiers état des temps modernes. La présidentielle de 2012 est une cartouche à blanc, le peuple n’est pas encore prêt à opérer la chirurgie politique indispensable à la survie de sa légitime souveraineté.
Le peuple est conditionné pour brader sa confiance à un notable socialiste, pour contrer un notable libéral. Le peuple est un souverain qui hésite encore à prendre le glaive tranchant de ses revendications. Qui n’assume pas pleinement sont salut national et son devoir social; parce-que ceux qui prétendent porter le glaive pour lui, ne sont pas à la hauteur de notre Histoire, ils ne sont que des porteurs de masque vassaux des groupes de pressions. C’est quand ces pouvoirs occultes n’auront plus rien à bouffer, que « la pucelle ou le général »
http://www.lebreviairedespatriotes.fr/2012/06/07/dans-lattente-de-lhomme-providentiel/