/http%3A%2F%2Fstatic.ladepeche.fr%2Fcontent%2Fmedia%2Fimage%2F350%2F2013%2F05%2F16%2F201305160937-full.jpg)
Plusieurs générations rassemblées pour cet événement et de nombreux élus, hier à Boé./photo Morad Cherchari
/http%3A%2F%2Fwww.ladepeche.fr%2Fimages%2Fpictos%2Fzoom.png)
La remise des prix du concours de la Résistance et de la Déportation s'est déroulée hier, pour le département, sous la présidence de Brigitte Moreno.
C'est toujours avec beaucoup d'émotion que s'ouvrent les séances de remise de prix du concours de la Résistance. L'interprétation du «Chant du partisan» ajoute au côté solennel de l'événement. Chaque année, cette épreuve s'adresse à des collégiens et lycéens, loin, bien loin de l'histoire sur laquelle ils se sont penchés. 70 ans les séparent. Et pourtant, il est tellement important de se souvenir des heures sombres et de celles et ceux qui ont su dire non. Et si cela arrivait maintenant, qu'en serait-il ?
Le concours de la Résistance et de la Déportation existe depuis 56 ans dans le département. «Cette année, nous avons eu moins de participants, mais 967 élèves ont participé tout de même. Nous récompensons 297 lauréats et douze d'entre eux effectueront un voyage», présente Yvette Cayrou, secrétaire du comité d'organisation et coprésidente de l'Association des résistants et déportés.
Baisse de participations
Parmi les 967 participants, 683 sont des collégiens et 284 des lycéens. «Une des raisons de la baisse des participants dans les collèges d