Le 4 juillet 1776, à Philadelphie, où ils sont réunis en congrès (en anglais,« Convention »), des représentants des Treize Colonies anglaises d'Amérique du nord proclament leur indépendance dans l'enthousiasme. Cette proclamation est dite unilatérale car elle n'est pas reconnue par la métropole. Elle va déboucher sur une guerre mettant aux prises les Insu
http://www.herodote.net/almanach/jour.php?jour=0704
Italien né à Nice, Garibaldi est le plus flamboyant des agitateurs du XIXe siècle. Il s’illustre
d’abord en défendant l’indépendance de l’Uruguay à la tête de ses légionnaires, les «Chemises rouges». En 1848, il regagne l'Europe en ébullition et se met au service d’une éphémère
république romaine.
Au printemps 1860, il débarque avec un millier d’hommes en Sicile. C'est l'«expédition des Mille».
Jouant d’audace, il remonte jusqu’à Naples et livre le sud de la péninsule italienne au roi du Piémont-Sardaigne qui peut se faire proclamer roi d’Italie. En 1867, il part à la conquête de la
Ville éternelle où réside le pape sous protection française. Mais il est défait à Menta
http://www.herodote.net/almanach/jour.php?jour=0704
Avec les romans Atala (1801) et René (1802), le vicomte François-René de Chateaubriand apparaît comme le précurseur du romantisme.
C'est aussi le premier des grands hommes de lettres du XIXe siècle à s'engager activement dans la vie politique. Manifestant son soutien au Premier Consul Bonaparte et au Concordat, il publie en 1802 le Génie du christianisme.
Mais il prend ses distances avec Napoléon Bonaparte après l'exécution du duc d'Enghien, se retire à la Vallée-aux-Loups, au sud de Paris. En 1814, il s'érige en champion de
http://www.herodote.net/almanach/jour.php?jour=0704
Avide d’étudier, Marie Sklodowska quitte sa Pologne natale et s’inscrit à la Sorbonne avant d’entamer des recherches à l'École de Physique et Chimie de Paris, où elle rencontre Pierre Curie, son futur mari. Celui-ci, né à Paris le 15 mai 1859, est déjà un savant connu quand il épouse Marie et lui donne son nom.
Le couple a deux filles : Eve et Irène. Il reçoit aussi la moitié du prix Nobel de physique 1903 suite à la découverte d'un nouveau métal, le radium, jusqu'à 3 millions de fois plus radioactif que l'uranium (l'autre moité du prix est attribuée à Henri Becquerel). Mais Pierre, épuisé par ses recherches, meurt prématurément dans un accident de la circulation : son vélo est renversé