L’Université populaire du Pays d’Iroise (UPPI) a organisé, mardi soir, à Ti lanvenec, une soirée débat sur l’exil des républicains espagnols en France et plus particulièrement dans le Finistère. Le conférencier Jean Salapala a commencé par détailler les événements qui ont conduit à la « retirada » et à l’exil de près de 500 000 Espagnols sur le sol français. Le Finistère a vu arriver, dès 1939, près de 3 700 réfugiés essentiellement des femmes et enfants. Pour fuir le franquisme, ces « migrants » accueillis par les Bretons ont dû accepter la séparation, l’éclatement des familles et le piège de l’occupation nazi.
Certains pour continuer le combat, rejoignent la rés