Un nouveau mouvement néo-fasciste français tente de fédérer plusieurs groupuscules issus des mouvances royalistes, identitaires, nationalistes, du Rassemblement national, et n’hésite pas à tenter de recruter des gros bras chez certains ultras présents dans les stades de football.
Streetpress a enquêté sur le Bastion social, nouvelle forme qu’a revêtu le GUD, acronyme de Groupe union défense, une organisation étudiante néo-fasciste et violente née dans les années 1970. En perte de vitesse, elle a amorcé sa mue en 2017 en s’inspirant de la Casa Pound, un mouvement néo-fasciste italien né à Rome en 2003.
Une liste « gilets jaunes » recueillerait 8 % d’intentions de vote pour les élections européennes de mai 2019, dominées par le Rassemblement national (RN, ex-FN) dans tous les cas de figure, tandis que Les Républicains chutent lourdement à 8 %, selon un sondage Odoxa pour Franceinfo publié vendredi.
Dans l’hypothèse de la présence d’une liste « gilets jaunes » à 8 %, le parti d’extrême droite de Marine Le Pen recueille 21 % d’intentions de vote, devant la liste La République en Marche-MoDem (19 %), La France insoumise (10,5 %) et Les Républicains (8 %).