Face au vent et aux embruns les traces du débarquement s'érodent peu à peu. Des archéologues ont entrepris un vaste inventaire des 3 000 blockhaus du Mur de l'Atlantique
C’est une véritable « course contre les éléments » qu’ont entreprise des archéologues sur les sites de français de la Seconde Guerre mondiale.
Champs de batailles grignotés par l’urbanisation, bunkers soumis à l’érosion littorale, ou « vestiges des hôpitaux de campagne, camps de prisonniers ou autres sites de l’estuaire de l’Orne » détaille Sciences et Avenir, l’archéologie préventive dresse l’inventaire des traces des combats passés avant qu’il ne soit trop