Nicolas Nevert, le gérant de l’auto-école blanzynoise C’Permis, est en colère. Ce mardi matin, il a découvert une des deux autos, une C3 Citroën, de son commerce dégradée : quatre pneus crevés et trois vitres latérales brisées. D’autant plus en colère que c’est la deuxième fois en peu de temps que cela lui arrive.
« Dans la nuit du 10 au 11 janvier dernier, on m’avait crevé les quatre pneus de cette même voiture. Comme elle était garée place de l’église et qu’elle était la seule à y être, je me suis dit que j’étais tombé sur un petit con. Mais là, le doute n’est plus permis : je me sens visé. »
D’autant que cette fois, la voiture était stationnée au fond d’une cour privée. Car même si cette dernière n’est pas fermée, il fallait s’y rendre spécialement. « À mon avis, cela s’est passé avant 23 heures, que je rentre à mon domicile (N.D.L.R. : situé au-dessus du commerce), car je n’ai r