Le dernier blindé français, qui quittera l’Afghanistan courant 2013, empruntera-t-il le « pont de l’Amitié » ? Ce n’est pas impossible, car, pour évacuer ses troupes, Paris est toujours à la recherche de routes sûres et bon marché. Mais le symbole serait fort, trop fort sans doute pour être politiquement acceptable. C’est en effet par ce pont que le dernier char soviétique est rentré au pays, le 15 février 1989 – au terme d’une guerre de dix ans. Avec le succès que l’on sait… D’une longueur de 800 mètres,
Afghanistan. Sur le Pont de l'Amitié
Une tribune libre pour l'agence Ria-Novosti.
Voici un extrait de ma nouvelle tribune libre publiée sur le site, en français, de l'agence de presse
russe Ria-Novositi .
Le dernier blindé français, qui quittera l’Afghanistan courant 2013, empruntera-t-il le « pont de l’Amitié » ? Ce n’est pas impossible, car, pour évacuer ses troupes, Paris est toujours à la recherche de routes sûres et bon marché. Mais le symbole serait fort, trop fort sans doute pour être politiquement acceptable. C’est en effet par ce pont que le dernier char soviétique est rentré au pays, le 15 février 1989 – au terme d’une guerre de dix ans. Avec le succès que l’on sait… D’une longueur de 800 mètres,
Le dernier blindé français, qui quittera l’Afghanistan courant 2013, empruntera-t-il le « pont de l’Amitié » ? Ce n’est pas impossible, car, pour évacuer ses troupes, Paris est toujours à la recherche de routes sûres et bon marché. Mais le symbole serait fort, trop fort sans doute pour être politiquement acceptable. C’est en effet par ce pont que le dernier char soviétique est rentré au pays, le 15 février 1989 – au terme d’une guerre de dix ans. Avec le succès que l’on sait… D’une longueur de 800 mètres,
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