Le 2 février 1943 – il y a soixante-dix ans cette année – la bataille de Stalingrad s’achevait. C’était une victoire de l’armée soviétique et une défaite majeure de l’Allemagne. On découvrait que les nazis pouvaient être vaincus sur leur terrain de prédilection - la guerre. Ils n’étaient pas invincibles et, quelles que soient les révisions historiques contemporaines, Stalingrad fut bien le signe du début de leur fin. Qu’il me soit permis d’évoquer un souvenir familial. J’appartiens à une famille qui n’était pas, mais alors pas du tout, communiste. Or, mes grands-parents, dans la France occupée par l’armée allemande – il y avait une caserne en fac
Qui se souvient de Stalingrad ?
Voici un extrait de ma nouvelle chronique publiée sur le site, en français, de l'agence de presse
russe Ria-Novosti .
Le 2 février 1943 – il y a soixante-dix ans cette année – la bataille de Stalingrad s’achevait. C’était une victoire de l’armée soviétique et une défaite majeure de l’Allemagne. On découvrait que les nazis pouvaient être vaincus sur leur terrain de prédilection - la guerre. Ils n’étaient pas invincibles et, quelles que soient les révisions historiques contemporaines, Stalingrad fut bien le signe du début de leur fin. Qu’il me soit permis d’évoquer un souvenir familial. J’appartiens à une famille qui n’était pas, mais alors pas du tout, communiste. Or, mes grands-parents, dans la France occupée par l’armée allemande – il y avait une caserne en fac
Le 2 février 1943 – il y a soixante-dix ans cette année – la bataille de Stalingrad s’achevait. C’était une victoire de l’armée soviétique et une défaite majeure de l’Allemagne. On découvrait que les nazis pouvaient être vaincus sur leur terrain de prédilection - la guerre. Ils n’étaient pas invincibles et, quelles que soient les révisions historiques contemporaines, Stalingrad fut bien le signe du début de leur fin. Qu’il me soit permis d’évoquer un souvenir familial. J’appartiens à une famille qui n’était pas, mais alors pas du tout, communiste. Or, mes grands-parents, dans la France occupée par l’armée allemande – il y avait une caserne en fac
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