L'hypothèse de "remettre en cause" le contrat semble totalement exclue, notamment pour des raisons budgétaires. En cas de dédit, l'Etat devrait verser 800 millions d'euros aux entreprises retenues, en particulier Bouygues et, dans le même temps, ne pourrait plus vendre les emprises immobilières actuelles dont le ministère de la Défense attend plusieurs centaines de millions pour boucler ses prochains budgets.
Le chantier de Balard, où les travaux de terra