"15.000 morts en quinze mois de violences. La Syrie est désormais le théâtre d’une épouvantable guerre civile dont rien n’annonce la fin, tant s’en faut. Tout avait commencé, en mars 2011, dans le sillage du « printemps arabe » par l’opposition pacifique à la dictature du président al-Assad. Au fil des mois et des tueries, l’affaire a basculé dans une guerre entre Syriens.Quels que soient les responsables de cette évolution tragique – et le régime baasiste n’est pas le dernier à avoir opté pour la politique du pire, ce qui se passe désormais dans ce pays n’est plus l’insurrection d’une population contre le pouvoir, mais l’affrontement de Syriens (dont ceux du régime) contre d’autres Syriens, séparés qu’ils sont par leurs origines ethnico-r
Syrie, les options de la guerre
Une tribune libre pour l'agence de presse russe Ria
Novosti
Voici un extrait de ma nouvelle tribune libre publiée sur le site, en français, de l'agence de presse
russe Ria-Novositi .
"15.000 morts en quinze mois de violences. La Syrie est désormais le théâtre d’une épouvantable guerre civile dont rien n’annonce la fin, tant s’en faut. Tout avait commencé, en mars 2011, dans le sillage du « printemps arabe » par l’opposition pacifique à la dictature du président al-Assad. Au fil des mois et des tueries, l’affaire a basculé dans une guerre entre Syriens.Quels que soient les responsables de cette évolution tragique – et le régime baasiste n’est pas le dernier à avoir opté pour la politique du pire, ce qui se passe désormais dans ce pays n’est plus l’insurrection d’une population contre le pouvoir, mais l’affrontement de Syriens (dont ceux du régime) contre d’autres Syriens, séparés qu’ils sont par leurs origines ethnico-r
"15.000 morts en quinze mois de violences. La Syrie est désormais le théâtre d’une épouvantable guerre civile dont rien n’annonce la fin, tant s’en faut. Tout avait commencé, en mars 2011, dans le sillage du « printemps arabe » par l’opposition pacifique à la dictature du président al-Assad. Au fil des mois et des tueries, l’affaire a basculé dans une guerre entre Syriens.Quels que soient les responsables de cette évolution tragique – et le régime baasiste n’est pas le dernier à avoir opté pour la politique du pire, ce qui se passe désormais dans ce pays n’est plus l’insurrection d’une population contre le pouvoir, mais l’affrontement de Syriens (dont ceux du régime) contre d’autres Syriens, séparés qu’ils sont par leurs origines ethnico-r
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article