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Cercle Jean Moulin ®

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Co-Président d'Honneur Daniel Cordier, Secrétaire Particulier de Jean Moulin, Hubert Faure, membre des 177 du Commando Kieffer, membre d'Honneur Suzanne Escoffier, petite cousine et filleule de Jean Moulin Association Mémorielle Patriotique et Républicaine. cercle.jean.moulin71@sfr.fr 07 81 34 85 48


Vol au dessus d’un nid de ripoux : révélations sur la BAC de Marseille

Publié par cercle Jean Moulin sur 23 Février 2013, 18:45pm

Catégories : #sécurité sûreté en générale (&ancienne Catégorie)


NICOLAS JOSE/SIPA
NICOLAS JOSE/SIPA
«L’affaire de la BAC de Marseille n’est pas terminée », martèle le ministre de l’Intérieur Manuel Valls. Manière de clouer le bec à tous ceux qui voudraient enterrer un peu vite ce qui restera comme l’une des plus incroyables affaires de ripoux jamais vues en France. 

Le scandale éclate à la fin de l’été 2012. Le ministre annonce aussitôt la dissolution de cette unité d’élite chargée de la lutte contre le crime dans les quartiers Nord de Marseille. Le livre de notre collaborateur Frédéric Ploquin, dont nous publions les extraits, raconte par le menu l’enquête secrète menée pendant près d’une année par l’inspection générale des services (IGPN). 

Notre grand reporter a rencontré tous les acteurs de l’affaire, dont il rapporte le témoignage. A commencer par celui qui a levé le lièvre, le préfet Alain Gardère, envoyé à Marseille par Nicolas Sarkozy en août 2011 pour tenter d’y enrayer la flambée de la délinquance, la guerre des gangs aussi où des caïds des cités s’entretuent pour le contrôle du marché des stupéfiants. 

Frédéric Ploquin a surtout eu accès à toutes les pièces du dossier et, notamment, au compte-rendu des écoutes réalisées pendant des semaines dans les véhicules des policiers ripoux de la brigade anticriminalité. Des conversations dont la teneur en dit long sur l’état d’esprit qui régnait dans ces équipes, soupçonnés de se gaver sur le dos des voyous au lieu de combattre le crime. 

Alors que l’enquête judiciaire se poursuit et que la Place Beauvau peaufine ses dossiers disciplinaires, la lecture de ces conversations montre que ces gardiens de la paix ne sont pas seulement suspectés de s’être payés sur la bête. Ils savaient visiblement à quelles portes frapper pour récupérer de la came et du 
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