Ce poème avait "connu un franc succès" et nompbre d'entre vous avaient regretté que ce texte magnifique ne soit pas signé ...
Aujourd'hui, grâce aux informations communiquées par un Camarade, il est possible de vous faire connaître le véritable auteur .
Il s'agit d'un jeune Français dont le pseudo est PHILOU, alias le Joyeux rebelle, dont nous avons retrouvé le blog (probablement plus actif à ce jour)
http://joyeuxrebelle.canalblog.com/
« A propos des Larmes du drapeau Certaines personnes ont diffusé sur Youtube une vidéo reprenant mon poème "Les larmes du drapeau", en l'attribuant à un certain Colonel Brault que je ne connais ni d'Eve ni d'Adam. J'ai demandé il y a quelque temps des explications à ce colonel, il m'a affirmé s'être contenté de poster mon poème sur son site, mais que d'autres personnes l'y ayant trouvé en ont déduit qu'il en était l'auteur. J'effectue ce rectificatif car, étant membre du groupe FTP (Francs-Tireurs Patriotes), je mettrai ce poème en musique pour le prochain disque du groupe, et n'ai aucunement envie de passer pour un plagieur alors que "les larmes du drapeau" sort de ma petite plume! »
Par ailleurs, sur la même page de son blog, il présente un poème écrit par le Sergent P.
Ce texte mérite lui aussi d'être connu.
« 18 octobre 2010
Poème d'un soldat de France
Je publie ici un long et beau poème écrit par un militaire, le Sergent P. A lire et à faire tourner sans restriction, en ces périodes de drapeaux brûlés et de patrie méprisée…
Poème d’un soldat de France
Sans hâte dans la nuit sombre, un soldat avance,
Seul le bruit de ses pas perce le long silence.
C’est la garde, et sous l’œil des étoiles amies,
L’ombre veille au repos du camp tout endormi.
En marchant dans le sable il songe à la bataille
Qui l’a fait ce matin enfant de la mitraille.
Ce baptême du feu, il l’a tant attendu!
A son intense appel la poudre a répondu.
Sous l’orage, en soldat, il a su se dresser
Et narguer de la Mort le présent empressé.
L’ennemi a ployé au vent de sa ferveur,
Et de la Faucheuse il a reçu les faveurs.
Lorsque le choc passé, il a levé la tête,
Il s’est vu seul debout, défiant la tempête;
A son côté, gisant, un cadavre endormi:
Comme en rêve il a v