L’Association France-Corse dénonce un processus Matignon bis

La sensibilité social démocrate de l’UMPS avec François Hollande à l’Elysée, est maintenant en charge de la conduite de la politique commune de renoncement national de la fausse gauche et de la vraie droite européistes.

L’UMP et le Parti socialistes sont tout aussi partisans l’une et l’autre de l’Europe supranationale qui implique la disparition de la France républicaine.
Le Parti socialiste se caractérise cependant, par une volonté plus ouverte de constituer une Europe fédérale des Länder. Ainsi, dans cette logique régionaliste et communautariste, François Hollande a-t-il informé les responsables religieux concernés qu’il entendait constitutionaliser le Concordat d’Alsace Moselle.
Il n’est donc pas inattendu qu’un nouveau « processus » de type Matignon soit à l’ordre du jour en Corse et de ce point de vue, la nouvelle mobilisation des amis de Marie-Dominique Roustan-Lanfranchi est une bonne nouvelle.

Claude Beaulieu

Aujourd’hui, sous la dénomination "France-Corse", comme hier sous l’appellation "Association pour la Défense des Droits de la Corse dans la République", nous avons pour but de représenter un courant de pensée qui se réclame de l’indéfectible appartenance de la Corse à la nation française, d’informer, de tenir en alerte une conscience civique, et d’avancer des positions critiques, mais également constructives ,et de les faire connaître.

Dans les mois qui ont suivi le résultat de la consultation régionale de juin 2003, et après les entretiens que nous avait accordés dans la foulée Nicolas Sarkozy (en nous assurant que le débat institutionnel était clos et que l’on n’y reviendrait pa

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