« Me Antoine Sollacaro n'était pas seuement une figure du barreau. C'était une figure de l'indépendantisme. Un militant nationalisme engagé, y compris dans des actions clandestines », a déclaré le président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC) à Public Sénat. « Je ne veux pas en dire plus pour ne pas manquer à ma déontologie d'ancien ministre de l'Intérieur », a dit l'ancien ministre, ajoutant « je crois que les liens entre le banditisme et le nationalisme corse sont établis depuis longtemps » et jugeant qu' « il y a là une dérive mafieuse bien connue ».
Pour que l'État intervienne davantage en France, il faudrait « déjà que les complicités dont bénéficient les indépendantistes corses cessent dans tous les milieux, y compris politiques, qu'il n'y ait plus de complaisances. Si cette attitude avait été tenue, il y a très longtemps qu'on ne parlerait plus de ce problème », a osé dire M. Chevènement qui poursuit en disant qu'il pense que les indépendantist
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