Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Cercle Jean Moulin ®

Cercle Jean Moulin ®

Co-Président d'Honneur Daniel Cordier, Secrétaire Particulier de Jean Moulin, Hubert Faure, membre des 177 du Commando Kieffer, membre d'Honneur Suzanne Escoffier, petite cousine et filleule de Jean Moulin Association Mémorielle Patriotique et Républicaine. cercle.jean.moulin71@sfr.fr 07 81 34 85 48


Laurent Pinsolle :La dérisoire réforme bancaire de François Hollande, suite

Publié par cercle Jean Moulin sur 21 Février 2013, 22:56pm

Catégories : #Nicolas Dupont Aignan & Debout la République

http://www.gaullistelibre.com/2013/02/la-derisoire-reforme-bancaire-de.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+gaullistelibre+%28Blog+gaulliste+libre%29

Hier, le Parlement a adopté la première mouture du projet de loi de réforme bancaire du gouvernement. Un texte qui démontre l’inutilité complète du PS qui a proposé une loi moins ambitieuse encore que celles passées aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne, des pays pourtant guère interventionnistes.
Beaucoup de bruit pour rien
On se souvient que, pendant la campagne électorale, François Hollande avait fait, le temps d’un discours, de la finance son ennemi. Mais, dans une logique toute sarkozysteil était allé quelques jours après dire le contraire absolu au Guardian, vantant alors toutes les réformes néolibérales menées par de précédents gouvernements socialistes, comme si les Français et les journalistes ne lisaient pas la presse internationale, ce qui avait déclenché une belle polémique.
Du coup, il n’y avait pas grand chose à attendre. Et de facto, comme avec Sarkozy, la France est en retard dans la réforme de la finance. Alors que Berne ou Londres imposent des normes prudentielles plus sévères que Bâle 3 (malheureusement assouplies) pour tenir compte de la crise, le projet de loi français n’aborde même pas le sujet… Bref, sous Hollande comme sous Sarkozy, comme le soulignent beaucoup, Paris se montre moins contraignant que Londres. Un comble !
Le refus du Glass Steagall Act
L’élément le plus emblématique est clairement le refus de couper les banques en deux, comme l’avait fait Franklin Roosevelt après la Grande Dépression. Pourtant, l’ensemble du Glass Steagall Act, qui avait influencé les lois du monde entier, avait assuré des décennies de stabilité financière et son démantèlement a immédiatement provoqué de nouvelles crises. Mais comme souvent, les socialistes restent sourds aux leçons de l’histoire. Leur cerveau est encore débranché.
La simple séparation dans des filiales différentes ne changera rien en cas de panique car il est bien évident qu’une filiale p
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article

Archives

Nous sommes sociaux !

Articles récents