La saga Hollande. « Normal », puisqu’on vous le dit !

Quand ses femmes arrêtent de se crêper le chignon, c’est son fils qui remet ça ! Preuve que François Hollande est bien, comme il le dit, un mec “normal” !

Confessant son désarroi et son chagrin à une journaliste du Point, le fils ainé du couple le plus présidentiel de la V^e République – le jeune Thomas Hollande – s’insurge contre l’étalage de la vie privée de ses père et mère. Gonflé, le jeune homme !

Puisqu’il n’a pas de mémoire, reprenons donc pour lui le cours de l’histoire.

D’abord il y a Ségolène, sa maman qui, le 2 juillet 1992, présente depuis la maternité de l’hôpital Bégin sa petite sœur dernière née aux Français. Sa mère est ministre. Enfin disons que la ministre tient à ce que l’on sache qu’elle est aussi mère. Pour la petite histoire, le reportage était signé d’une certaine Valérie Trierweiler… Une mère qui expliquera un jour à la France (à l’occasion de l’affaire d’Outreau) que « les enfants ne mentent pas ! » Ce qui prouve que, sans parler des autres, elle n’avait pas dû fréquenter beaucoup les siens.

Mais Thomas aime sa maman et il fait bien.

Quinze ans plus tard, la même Ségolène, s’étant fait remodeler le menton et aligner les dents, se porte candidate à la présidentielle. Alors que François, le père de ses enfants, a déjà quitté le domicile concubinal, la dame nous annonce un futur mariage romantique sous les palmiers sous les cocotiers. Battue par Sarkozy, elle confesse quinze jours plus tard son infortune au journal de 20 heures : François Hollande roucoule sous la couette avec une blonde journaliste. Les Français sont donc invités à tenir la chandelle.

Mais Thomas aime sa maman et il fait bien.

Les années passent. Les élections reviennent. Maman Ségolène se porte à nouveau candidate. Papa François aussi. Maman se lâche : « Le point faible de François Hollande, c’est l’inaction ». Attrape ça dans les gencives. Mais Ségolène se prend une tôle et c’est François qui l’emporte.

Mais Thomas aime sa maman et son papa et il fait bien.

Au soir de la victoire apparaît la grande blonde qui embrasse goulument.

Mais Thomas n’aime pas trop sa belle-mère et il fait comme il peut.

Viennent les législatives. Ség

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